Ecrire en multimédia
Étiquettes : Web 2.0
Si j’utilise de temps à autre des captures d’écran (screenshots en anglais) pour illustrer mes propos, c’est simplement parce qu’une image est parfois plus éloquente que des mots ou, à tout le moins, aide la mémoire à retenir une information.
Dans votre contenu, posez-vous la question, à l’heure où la vidéo, l’image et le son abondent autant que les mots sur le Net, si vous ne pouvez pas mettre en valeur vos informations en exploitant le multimédia. Car comme le souligne Jean-Marc Hardy, écrire pour le web c’est penser multimédia :
« Basé quasiment exclusivement sur le texte à ses débuts, Internet est devenu aujourd’hui un moyen d’expression multimédia, permettant d’intégrer tout autant des textes que des images, des vidéos, des sons, des animations, des programmes interactifs, etc. Ecrire pour Internet, c’est donc exploiter plusieurs supports d’expression. »
Suite au commentaire pertinent d’Anne, je renvoie à l’article que je publiai fin décembre intitulé grandes résolutions de 2007, en rapport avec la résolution toujours plus grande des écrans.
Commentaires
Un bel exemple : vidéo, texte, son
http://wirelessoffice.proximus.be/?lg=fr&env=corporate&skipintro=1
Un peu de pub pour Emakina au passage, je l’avoue 😉
Il y a une chose qu’on a tendance à oublier sur les blogs et qui a son importance point de vue lisibilité.
Les textes trop longs sont désagréables à lire. Je ne parle pas du nombre de lignes (même si un sujet a intérêt à être rudement bon pour tenir un intrenaute plus de 5 minutes sur une même page) mais plutôt du nombre de pixels en largeur alloués à la zone texte dans une page. En clair, la longueur des lignes.
Je suis d’ailleurs surprise que WordPress propose des templates dans lesquels 2/3 de la largeur sont attribués aux billets. Je ne blame pas l’utulisateur mais le concepteur 😉
Merci pour la référence, Muriel, même s’il est grand temps que j’actualise les exemples cités dans cette rubrique « Penser multimédia » sur redaction.be. Les choses ont pas mal évolué en cinq ans.