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Tel est le titre, tronqué, d’un article publié sur Digimind, à propos de la publication d’un livre blanc intitulé « Le Web 2.0 pour la veille et la recherche d’informations »… L’occasion de soulever, une nouvelle fois encore, la question du contenu à l’ère du Web 2.0…

Ce sera l’occasion, également, de lancer, dès la semaine prochaine, une nouvelle série en sept épisodes, dédiée au « Contenu Web 2.0″… Pour l’heure, un extrait de la présentation dudit livre blanc :

<< Le Web 2.0 : un nouveau mode de communication
Grâce à des techniques de publications simples et souples, tout individu peut aujourd’hui, même sans connaissances techniques, publier son propre contenu sur par exemple un blog (Blogger, Overblog, Skyblog, Vox,…), des espaces de partage de fichiers (MySpace, Flickr,…) ou encore un wiki (Wikipedia, Wikia,…) et diffuser le tout via des fils RSS.

Le Web 2.0 offre ainsi des possibilités accrues de production, diffusion et consommation des contenus. L’internaute n’est plus passif mais collaboratif : il devient acteur sur Internet et participe à la production, au partage, à la classification et à l’enrichissement de contenus, initiant souvent de façon collective ou communautaire de nouvelles formes de relations.

Des informations et applications extrêmement utiles pour la veille
Ces informations et opinions émises directement par les individus permettent tout d’abord d’enrichir et compléter les contenus officiels. Sorte de focus groupe géant en temps réel, le web 2.0 permet ainsi de prendre le poul <sic> de tel ou tel phénomène, comme par exemple la voix des salariés d’une multinationale suisse sur sa politique sociale. >>

Plus d’infos :

 


Commentaires

  1. Vince dit :

    J’ai parcouru ce white paper avec beaucoup d’attention et même si je n’y pas retrouvé grand chose que je ne connaissais déjà, j’apprécie beaucoup la clarté et la structuration. Le web 2.0 étant ce qu’il est (relativement fouillis, pour ne pas dire plus…), la généralisation ce type de documents est plus que souhiatable!
    Je recommande également le white paper (toujours signé Digimind) sur le web invisible ou web profond, qui aborde une thématique à mon avis bien moins connue du grand public!

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